| auteur du texte | Bocquenet, Bernard (1956-....) |
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| directeur de thèse | Jalabert, Laurent (1967-....) |
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| titre de la thèse | La censure sous Vichy en Béarn 1940-1944 |
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| liens | http://theses.fr/2017PAUU1029
(Texte intégral) |
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| type de thèse | Thèse de doctorat |
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| établissement | Université de Pau |
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| discipline | Histoire |
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| année de soutenance | 2017 |
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| langue du texte | français |
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| traduit de | <non spécifié> |
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| classement | <non spécifié> |
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| ancien index matière | <non spécifié> |
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| index chronologique |
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| personne citée | <non spécifié> |
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| commentaire | A la déclaration de guerre en septembre 1939, la censure est rétablie sous le contrôle des militaires pour empêcher les critiques de la politique du gouvernement et encadrer les informations militaires. Les bureaux de la censure s'installent à Pau et contrôlent la presse départementale. Après l'armistice, la censure passe aux mains des civils et se structure dans le cadre d'une organisation régionale, dépendant d'une censure centrale à Vichy. En novembre 1941, la nomination à Pau d'Henri Peyre durcit le contrôle de presse. Les conflits se multiplient avec les trois quotidiens : Le Patriote, l'Indépendant et France Pyrénées. Le censeur transforme ses services en une officine de propagande et de délation. Il surveille de très près la vie publique et culturelle avec beaucoup de zèle. A la Libération, les journaux palois passent en jugement et disparaissent, le censeur est condamné à dix ans de travaux forcés. |
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