1465 : Louis XI perd le pouvoir | p. 101-117 | Contribution |
La justification d'un coup d'Etat selon un chroniqueur breton engagé | p. 119-136 | Contribution |
La prise d'armes de Louis de Condé en 1562 | p. 137-149 | Contribution |
La monarchie française selon le cardinal de Bernis : la légitimité sans la force | p. 151-167 | Contribution |
La polyphonie du discours parlementaire sur la fonction royale au temps de la réforme Maupéou (1771-1775) | p. 169-198 | Contribution |
Un coup de force dans l'Eglise : le bref Tam Multa (15 août 1801) | p. 199-226 | Contribution |
Prendre le pouvoir selon Benjamin Constant : ni la force, ni la légitimité d'origine | p. 227-237 | Contribution |
Louis-Auguste Blanqui : la légitimité de la force ou l'utopie des barricades ? | p. 239-275 | Contribution |
Une légitimité à contre-courant du XIXe siècle : le IIe Empire de R. Th. Troplong | p. 277-294 | Contribution |
L'espoir d'une Restauration d'après la correspondance inédite du prétendant François de Bourbon | p. 295-313 | Contribution |
Mai-juin 1958 : une République meurt, une République naît. | p. 315-344 | Contribution |
Prendre le pouvoir : force et légitimité. Actes du Colloque de Toulouse, les 16 et 17 mars 2001 | 346 p. | Publication collective |